Tome – 10 / Un nouveau départ (on ne subit pas la vie on la fait)
BOZA FII est née au Sénégal en septembre 2020. L’association est pilotée par un groupe de migrants en retour volontaire et de militants des droits humains.
BOZA FII propose aussi de réussir ici. L’association est porteuse d’initiatives de développement pour les migrants en retour volontaire et les potentiels migrants, nous nous organisons pour une amélioration continue des conditions de vie des jeunes dans leur pays d’origines.
En tant que pays d’origine, le Sénégal connait de nombreux retours de migrants, depuis les pays occidentaux mais aussi des pays de la sous-région. Par manque d’information et d’accompagnement, ces personnes peinent à accéder à leurs droits pour les aides aux à la réinsertion. Par conséquent nous essayons de mettre en œuvre des projets fonctionnels pour que nous puissions puissent nous établir dans notre pays d’origine.
Notre programme essaye mettre à la disposition des demandeurs plusieurs mécanismes de réintégration individualisés ou collectifs incluant un appui aux capacités entrepreneuriales par le biais de formation en auto emploi ou en gestion des entreprises ainsi qu’une assistance technique et un suivi pour la réalisation de projets, de micro entreprises associés, en considérant la vulnérabilité comme critère prioritaire de sélection.
Il est fondamental, pour garantir la durabilité des réinsertions, de fournir des possibilités de faire des projets pour gagner sa vie. Cependant, la durabilité des réinsertions ne peut être garantie en définitive, qu’à la faveur d’un développement socioéconomique concomitant.
Pour des perspectives de développements Boza Fii va débuter ses premiers activités dans l’agriculture et l’élevage dont nous avons déjà octroyés l’espace utilisable.
Cependant n’est-il pas temps d’essayer de trouver des solutions à ce fléau, en mettant en place des programmes pour que les jeunes puissent se stabiliser dans leurs pays d’origines.
Parmi les projets de développement BOZA FII s’engage à bien travailler dans le domaine de réinsertion pour intégrer les migrants afin de leurs donner un nouvel espoir un nouveau départ dans leurs propres pays. Beaucoup de gens fuient le pays juste parce que le taux de chômage est trop élevé et ils ont du mal à trouver un travail qui leurs permet de subvenir à leur besoin sachant que beaucoup d’entre eux ont des familles à nourrir.
Nous comptons nous lancer dans le secteur de l’agriculture industrielle BIO pour pouvoir participer à l’autosuffisance alimentaire et générer de l’emploi de qualité aux migrants de retour et aussi aux migrants potentiels en leurs donnant une formation et un accompagnement afin que ces derniers puissent avoir une stabilité financière et de la motivation pour un développement durable.
Nous envisageons aussi développer le secteur de l’élevage moderne de volailles (dinde et poulet) Le projet permet également aux migrants de passer du stade de main d’œuvre non qualifiée à celui de qualifiée et faire d’eux des entrepreneurs grâce à des programmes de renforcement de capacités.
Nous avons aussi pensé à mettre en place des secteurs de transformation du noix de cajou et des mangues au sud du pays avant de les exporter toujours œuvrer pour créer de l’emploi …